Littérature de Cordel
Au XIXème siècle, des intellectuels de Rio de Janeiro, Sao Paulo, Campinas, Salvador, Recife et Fortaleza éditèrent des almanachs, presque tous de caractère littéraire-récréatif. Certaines entreprises commerciales, surtout des maisons d'édition et des laboratoires pharmaceutiques, imprimèrent et distribuèrent des almanachs contenant des prévisions diverses, des anecdotes, des charades et des horoscopes, associés à une publicité de leurs produits inspirée des modèles nord américains et européens.
Le texte matriciel de tous les almanachs populaires du Nord-Est du Brésil est l'oeuvre de Jeronymo Cortez Valenciano connu comme "Lunaire perpétuel" dont la première édition date de 1703.

Immédiatement après les Saturnales, on célébrait la fête des Sigillaires, ainsi appelée parce que sa célébration consistait surtout dans l'envoi que se faisaient les Romains de présents, tels que cachets, anneaux, et autres petits objets de sculpture.

En ces temps de froidures et de famine, les bouleaux se parent de chatons mâles qui pendent aux extrémités de leurs branches afin de mieux disperser le pollen à la belle saison.Ces fins colifichets à la peau de léopard sont une véritable aubaine alimentaire pour les hivernants.
Le Tarin des aulnes et le Sizerin flammé ne s'y trompent guère, ils viennent picorer avec appétit cette friandise hivernale.

Tribulations d’un fabricant de Pères Noël
En 1993, Albert Einbinder, gérant d’une société de décors de vitrines pour bijoutiers, répond au groupement des commerçants de Périgueux qui recherchaient une décoration originale pour leur ville en lançant le père Noël descendant des toits par une corde et s’agrippant aux façade. Il en fait fabriquer une centaine la première année, un millier l’année suivante: quarante mille pères Noël en sept ans pour une entreprise de 20 employés. A l’occasion d’un salon de la décoration de Noël, l’idée inspirent des concurrents qui font fabriquer leurs pères Noël en Chine à bas prix. Albert Einbinder aujourd’hui a licencié tout son personnel et il n’a pas fait fortune.

Il s'appelle J. Borges et est considéré comme le roi de la littérature de cordel.

En automne, tout m'étonne.
En hiver, j'espère.
Au printemps, j'apprends.
L'été : j'aurai tout oublié!