Qui sont ILS ?
Jusqu'à dimanche ça a l'air d'être correct, après ils disent que ça va se gâter. Parfois ils se trompent. Ils exagèrent: ils donnent des indications et puis plus rien. Ils pourraient quand même indiquer si c’est un sentier de randonnée ou pas. Ils auraient pu prévenir que la chaussée se rétrécissait comme ça. Je ne sais pas avec quoi ils font leurs routes, on a l’impression de rouler sur du béton. Ils annoncent un truc, puis un autre: aucun suivi. Ils l’avaient pas signalé qu’il allait y avoir des travaux. Ils n’ont aucun aménagement pour circuler. Ils sont tout petits leurs panneaux, comment peuvent-ils s'imaginer qu'on les voie? Pourquoi ils mettent des filets comme ça le long des parois rocheuses ? Tu y comprends quelque chose, toi, à leurs horaires ?

Kompostkrut
Quand vous mangez une choucroute, pensez au chef des Huns, le guerrier Attila, qui inventa ce plat consistant devant la Grande Muraille de Chine en construction: on savait là-bas faire fermenter le chou dans la saumure pour nourrir les ouvriers. En passant plus tard par la Bavière et l'Autriche les guerriers Huns, les mêmes qui cuisaient leurs steaks sous la selle de leurs chevaux, atteignirent l'Alsace en 451 où ils déposèrent leur idée de chou fermenté. Quelques saucisses, un peu de lard et de jarret de porc et la choucroute étaient améliorée. On l’appela d’abord « Kompostkrut » ; en chinois elle se dit : Changchun, anciennement Tch'ang-tch'ouen.

Le mot de Menu, pris substantivement, est un de ces termes particuliers à la langue française, et qui n’a peut-être son équivalent dans aucune autre. On entend en général par le Menu d’un repas, le mémoire de ce qui doit y entrer:. Dans les maisons bien réglées, et où l’Amphytrion s’occupe personnellement de la composition de chaque repas, le Maître d’hôtel, ou à défaut le cuisinier, doit lui apporter chaque matin le Menu du dîner du jour, et même y joindre, au moins par aperçu, celui du lendemain. Ce n’est pas une petite affaire que la composition et la discussion d’un Menu. La première demande une tête forte, une science profonde et variée, et des combinaisons très-étendues ; la seconde exige une longue expérience, un goût sûr et délicat, et un tact exercé. Les Menus varient nécessairement selon les saisons, puisqu’ils se composent des productionS que la Nature bienfaisante nous offre à des époques à-peu-près fixes dans chaque climat. Un cuisiner habile doit saisir le moment où chacune de ces productions est dans son plus grand degré de bonté pour l’adopter ; rien de médiocre ne devant se trouver sur le Menu d’un grand artiste.

Utile

Lorsque l’hirondelle rase le sol, ne sortez pas les parasols