Il ne faut pas confondre les potirons et les citrouilles qui appartiennent à deux espèces différentes. Selon la revue de l'Agence Fruits et Légumes Frais, Walt Disney a alimenté la confusion : dans le dessin animé de Cendrillon, la fée transforme un potiron en un magnifique carrosse, alors qu'elle-même, comme dans le texte du conte de Charles Perrault, parle d'une citrouille.

Scénario d'été
Les parents de de la fée Mélusine s'appellent Elinas et Présine.
Elinas: roi d'Albanie : le blanc pays: la Voie Lactée.
Présine: son nom signifie la Verte, la Seiche (Seiros = Sirius = sirène).
Ils se rencontrent par un jour de grande chaleur - peut-être un 2 août. Elinas est à la chasse, il a grand soif, il avise une belle fontaine. Au bord de la fontaine une femme chante. Comme un ange ? - Comme une sirène. La Canicule assoiffante et désséchante règne alors. La chanteuse: divine, rousse, caniculaire. Elinas est tout ébahi. Elinas et Présine se marient...

Faits divers
Je crois que la Fille sauvage de Châlons en Champagne aura porté la peine de son crime, s'il est vrai qu'elle ait mangé sa sœur. Je pense la même chose de tous ceux qui commettent des crimes, même involontaires, ou de tempérament : de Gaston d'Orléans qui ne pouvait s'empêcher de voler ; de certaine femme qui fut sujette au même vice dans la grossesse, et dont ses enfants héritèrent ; de celle qui dans le même état, mangea son mari ; de cette autre qui égorgeait les enfants, salait leurs corps, et en mangeait tous les jours comme du petit salé ; de cette fille de voleur anthropophage ; pour ne rien dire de tant d'autres exemples qui prouvent tous qu'il est mille vices et vertus héréditaires qui passent des parents aux enfants, comme ceux de la nourrice à ceux qu'elle allaite. Je dis donc et j'accorde que ces malheureux ne sentent pas pour la plupart sur le champ l'énormité de leur action. La boulimie, par exemple, ou la faim canine, peut éteindre tout sentiment ; c'est une manie d'estomac qu'on est forcé de satisfaire. Mais revenues à elles-mêmes, et comme désenivrées, quels remords pour ces femmes qui se rappellent le meurtre qu'elles ont commis dans ce qu'elles avoient de plus cher ! Quelle punition d'un mal involontaire, auquel elles n'ont pu résister, dont elles n'ont eu aucune conscience ! Cependant ce n'est point assez apparemment pour les juges. Parmi les femmes dont je parle, l'une fut rouée, et brûlée, l'autre enterrée vive. Je sens tout ce que demande l'intérêt de la société. Mais il serait sans doute à souhaiter qu'il n'y eût pour juges que d'excellents médecins. Eux seuls pourraient distinguer le criminel innocent du coupable.

qui est août ?

Quand ils vendengent et aoustent
Pour ce leur pain rongent et broustent