Temps nahuatl
Dans le village de Cuacuila au Mexique, vers 1970, le calendrier grégorien était mal maîtrisé. Seuls ceux qui étaient allés à l’école, peu nombreux à l’époque, ou qui étaient en contact fréquent avec les gens des villes, en avaient une bonne connaissance. La plupart des gens – les femmes notamment – ne pouvaient pas donner la date du jour et ignoraient totalement le millésime de l’année en cours. Peu de gens savaient vraiment leur âge et leur date de naissance attestée, c’est-à-dire pas celle inventée après coup, pour un motif administratif. Pourtant les supports matériels de repérage des dates étaient accessibles dans la plupart des villages nahuas. Sur tous les marchés, on pouvait acheter un almanach populaire, comme le Galván . Mais seules quelques familles nahuas en possédaient ; il fallait savoir lire pour s’en servir. On trouvait surtout cet almanach chez les récitants (rezanderos) qui, lors des enterrements, psalmodient les oraisons contenues dans les recueils de prières. L’almanach du récitant était consulté à la demande, par un voisin ou un parent, par exemple pour y chercher un prénom pour un nouveau-né. Les calendriers muraux, en revanche, étaient présents dans presque toutes les maisons indiennes, même si beaucoup de gens ne savaient pas les déchiffrer. C’est peut-être leur illustration – images de Vierge, de saints, d’Aztèque emplumé ou de scènes bucoliques – qui incitait à les afficher.

Les cousines à Bouzine:
Machine, Babasse, Babassine, Bécane et Bécassine,
Pétez la bouzine: faites éclater la boudouille.
"Ce qui bouzine doublement, c'est que "Fulgur", c'est la VF de "Lensman".

Lyon et Lumière
Je vous envoie une scène sur papier glacé.
Avec des personnages artificiels.
Je vous envoie une vie qui roule sur papier glacé.
Je vous envoie un papier glacé plein de vie, mais glacé quand même.

Le_chant_d'un_cardinal_rouge

Plus mai est chaud
Plus l'an vaut