Fête des étoiles au Japon
La Fête de Tanabata a lieu le septième jour du septième mois.
Elle célèbre la rencontre de Véga, déesse tisserande, et d'Altaïr, bouvier mortel.
Assise chaque jour devant son métier à tisser des brocarts célestes Orihime ( Véga) la Tisserande s'ennuie. Un jour, elle descend sur terre et rencontre le Bouvier Kengyû ( Altaïr). Il s'ensuit une belle histoire d'amour mais la déesse est rappelée au Cieux par les siens. Pour empêcher le bouvier de rejoindre son amante, les dieux séparent les mondes terrestre et céleste par une rivière infranchissable: la Voie lactée. Il est permis aux amants de se rencontrer une fois l'an: le 7 juillet.
Dans certaines villes du Japon les gens restent veiller dehors pour contempler dans le ciel les deux constellations Véga et Altaïr qui, ce jour-là, semblent se rapprocher au-dessus de la Voie Lactée. Des fruits et des légumes sont offerts aux deux étoiles et des branches de bambou sont décorées avec d'énormes pompons, des lampions en papier, des bandes de papier japonais multicolores (tanzaku) sur lesquels on écrit des voeux et qu'on accroche sur un mat devant les maisons tels des "arbres de noël d'été" (sasa kazari).
Le lendemain de la fête, l'arbre en bambou est jeté dans un fleuve ou brûlé pour que les vœux se réalisent.

Autre histoire de tisserand
Soutenue par le gouvernement de Napoléon 1er, l'invention du métier à tisser de Joseph-Marie Jacquard (1752-1834) rencontre de furieuses résistances parmi les ouvriers lyonnais qui n'y voient qu'un moyen de leur enlever leur travail. Jacquard fut traduit devant le conseil des prudhommes, poursuivi, insulté, échappant de justesse aux furieux qui voulaient le jeter dans le Rhône et qui détruisirent publiquement une de ses machines à cartes perforées. Dès 1812 pourtant, le métier Jacquard commença à se répandre. Jacquard naquit un 7 juillet.

Cherry on the cake
La cerise est un petit fruit charnu à noyau, de forme sphérique, de couleur généralement rouge, délicat et sucré qu'on cueille en rêvant. On détache le fruit de son rameau par une rapide traction (on préfèrera toujours les fruits becquetés par les oiseaux, dans la chair desquels la chaleur du soleil a mieux pénétré).
Sur le plan botanique la cerise est une drupe.
Le gastronome Lucullus l'appelle la « perle rouge », il l'aurait soi-disant rapporté à Rome au retour d'une campagne de guerre à Césaronte.
Dans un ouvrage peu connu, Kéraban-le-Têtu, Jules Verne fait traverser à ses héros une ville nommée Kérésoum où « le cerisier abonde ». Il mentionne que le bois de ces arbres est aussi utilisé pour faire des pipes.

Occuper ses vacances
Se faire inviter à manger chez soi

A Saint-Mirli, on va se frotter le nombril