Ovide encore
''Quand le jour sera levé, cessez de vous fier aux vents: à cette saison la brise est inconstante ; les vents sont instables et pendant six jours la porte déverrouillée de la maison d'Eole reste grande ouverte. ''

Le cri du corbeau
Corneille de l'Inde: kaa kaaa ; sec sans timbre, proche du corbeau freux
Corbeau calédonien: waaa ; aigu et doux/wak wak ; plus fort/aawp ; plus long
Corneille à bec mince: ak ak ak ; pi-yong et ne-aw (en vol) ; sonore, nasillard
Corneille violacée: variable d'une île à l'autre
Corneille plaintive: proche d'un grand perroquet, trois notes sifflées + croassement
Corneille des Mariannes: sons rauques, tonalité nasale en vol/cri perçant au sol
Corneille à bec blanc: ao ao ao%% Corneilles de Bougainville: ?
Corneille à tête brûlée: gakok gakok
Corneille grise: ah ah ah/croassement geignard
Corneille du Cap: kraa kraa kraa/ gloussement kerlol'op, doux, mais portant au loin
Corbeau freux: kaa à rythme variable selon le degré d'excitation, moins grave que la corneille noire
Corneille d'Alaska: kraa répété/ yoyoyoyo/ glougloute-ments et imitations
Corneille d'Amérique: ahh répété + répertoire Corneille d'Alaska
Corneille du Mexique: cri grave et nasal : nark/gar/nar-ur
Corneille de Sinaloa: Siiaw
Corneille de rivage: Ark ark ark/aruk
Corneille des palmiers: kraa/aag répétés
Corneille de la Jamaïque: kraa kraa et gloussements très rapides
Corneille de Cuba: aaa-u
Corneille des Antilles: cri de perroquet
Corneille noire: krwa répété, (rare) krok
Corneille mantelée: v. corneille noire
Corneille de Mésopotamie: ? cri typique, répété 3 fois en 10 s
Corneille à gros bec: kaaa kaaa fort et sec/isolé krok krok
Corbeau du Mexique: kraaak kraaak/kwak kwak
Corbeau pie: karr karr karr/kla kla kla
Corbeau nain: Comme suivant
Corbeau brun: aarg aarg aarg
Grand corbeau: krok krok krok/klong klong métallique/tok tok tok/kraa grinçant, etc.
Corbeau à queue courte: kraah kraah en fausset
Corbeau à cou blanc: kroor kroor/kraak kraak kraak
Corbiveau commun: croassement grave et guttural

La recette de l'oie farcie (telle qu'elle fut servie à François Rabelais dans un rêve fait à l'hôpital de Lyon une nuit de carême de février 1532 (voir 13/2))
% On prend une bonne choucroute et on la met à bouillir pendant quatre ou cinq minutes.
On fait ensuite fondre le gras des oies qu'on verse dans la choucroute avec du lard, des baies de genièvre, des clous de girofle, du sel et du poivre, des oignons hâchés, et l'on fait cuire le tout pendant trois heures.
Puis on ajoute du jambon, le foi émincé des oies, et on lie la bouillie avec de la mie de pain.
On farcit les oies avec cette préparation, après quoi on les met au four une quarantaine de minutes.
Il faut se souvenir, à mi-cuisson, de recueillir la graisse qui grésille pour la verser sur la farce.

Fête des soupes

Quelqu'un avec une grosse barbe, qui habite dans un château et qui est mort: un écrivain